Rav Ovadya Yossef chalita
H’azon Ovadya Bérah’ot page 329
Le Kaf Hah’aïm écrit : de la même façon qu’on ne récite pas de bénédiction sur le parfum qui se dégage du pain chaud ainsi on ne récite pas de bénédiction sur le parfum qui se dégage du café.
Le Pérah’ Chouchan diverge et écrit : bien qu’on ne récite pas de bénédiction sur le parfum qui se dégage du pain chaud, on doit réciter une bénédiction sur l’odeur du café. Le Péoulat Tsadik explique : l’odeur du pain chaud ne se dégage pas autant que les autres senteurs ; on récitera donc une bénédiction sur l’odeur du café moulu. Telle est également l’opinion du Michna Béroura 216-16, voir également le Beer Hétev.
Cependant selon Rav Itsh’ak Krispin on prononcera ‘’hanoten réa’h tov bapérote’’ – qui a donné une bonne odeur aux fruits, alors que d’après le H’essed Laalafim on dira plutôt ‘’boré miné bésamim’’ – qui a créé différentes espèces d’odeur.